A la recherche du TUMULTE perdu …

Mais où est donc passé le tableau « Tumulte »  ?

Lyon, le 26 Février 2024.

Signée par l’artiste peintre Marika Quenette, cette œuvre d’Art abstrait a disparu mystérieusement à la clôture de l’exposition Art Capital à Paris au Grand Palais éphémère le 19 février 2024 ! Lyon, le 26 Févirer 2024.

Exposée au Grand Palais éphémère et très appréciée des visiteurs, l’oeuvre « Tumulte » qui retranscrit avec émotion et vigueur une interprétation colorée et puissante du réel, s’est littéralement évanouie dans la nature.

Sans un bruit… Sans laisser aucune trace….

L’artiste pleure son « Tumulte » perdu , pourtant sagement encadré et présenté sous verre !

Et si à ce jour, le mystère reste entier, Marika Quenette se refuse à abandonner ses recherches. Dépossédée malgré elle, sans savoir où son œuvre intrépide ou malicieuse poursuivra sa route, sans connaître les motivations de cette disparition, l’artiste Marika Quenette lance un appel à témoins.

Pour sauver son art, préserver sa création unique, et ne pas voir l’Art Abstrait privé d’une de ses parties le constituant.

Pour stopper ce crime sans victime, cette disparition malheureuse sans explications à ce stade …

L’Art abstrait serait-il devenu si puissant qu’il puisse disparaître purement et simplement par abstraction sur lui même et par sublimation dans notre seul souvenir ?

L’unicité et la puissance créatrices de « Tumulte » auraient-elles suscité une attirance irrépressible, immédiate, irraisonnée et irraisonnable, ou bien une force supérieure qui l’aurait mystérieusement fait disparaître du monde réel ?

En suscitant malgré elle cette agitation artistique et émotionnelle, cette oeuvre abstraite dénommée « Tumulte » porte plus que jamais un nom qui lui était véritablement prédestiné.

L’abstraction de « Tumulte » l’a fait disparaître mystérieusement du monde réel, mais gageons que l’Art contenu dans ce « Tumulte » saura toujours perdurer au yeux des amateurs dans sa dimension immatérielle, tandis que sa version digitale pourra toujours tenter de susciter au moins à l ‘avenir le plaisir de ce souvenir de la contemplation de l’oeuvre originale.

Marika, le 25 février 2024.